Oh ! Pauvres
âmes , pauvres illettrés !
Prenez garde
de celle qui ne paraît.
Méfiez-vous
de ces femmes à jamais
Car avec
elles , disapaît
Votre si
cher et inavoué secret .
Elles
peuvent vous réduire en cendres,
Balayer vos
habitudes avec des mots tendres.
Elles aiment
aussi vos bien viles maîtresses
Afin de les
anéantir avec délicatesse.
Nulles
fourberies , nuls vices
Nulles peurs
des cicatrices
Ne peuvent
arrêter leurs amours destructeurs,
Car elles
seront capables de vous pourfendre le cœur .
Savoir «
aimer » est leur chère devise,
Ainsi que de
connaître ce que votre cœur enlise.
Elles feront
ressortir l'animal que vous êtes
Sans jamais
être au-dessus de leurs têtes.
Il n'y a que
trop de différences
Entre ces
deux corps qui se dépensent.
L'acte de
chair prend des proportions inégales
Dans la
vraie domination que votre machisme ravale.
Essayez donc
d'être franc envers vous-même,
Ayez du
respect pour celle qui vous aime.
Ne sous
estimez jamais cette frêle personne,
Cette
créature dont la sensibilité universelle résonne.
Soyez
aimants , soyez aimés.
Soyez amants
, sachez aimer.
Mais jamais
ne dévaluez , le présent de l'être écorché …
Attendez un peu, approchez-vous s’il vous plaît.
Que je renifle votre cou et votre visage hébété.
Secouez les mains et libérez votre esprit,
Car je vais faire une radiographie de votre vie.
Je pose donc le cliché sur le panneau lumineux,
Et je ne lis ma foi, rien de grave ni de honteux.
Juste une petite larme de verre fixée sur un adieu
Et une tempête de pourquoi destinés à Dieu.
Attendez ... Cette tâche m’intrigue, serait-ce votre chagrin angélique ?
Attendez, j’ai un doute, ou serait-ce alors votre bonheur cyclothymique ?
Ni l’un ni l’autre, me confirme mon collègue, ce n’est qu’une ombre
Une petite tâche survenue lors d’une crise de mysticisme néo-sombre.
Je vous prescris alors quelques vitamines et un bain de lait et de fleurs.
Ensuite vous prendrez trois gouttes d’arrêt de culpabilité...
Et n’oubliez surtout pas de vous masturber trois fois dans la journée.
Sans oublier d’en profiter pour en libérer vos plus grandes peurs.
Je vais vous prendre votre tension et ne plus jamais vous la rendre,
Ainsi vous irez un peu moins bien qu’un homme qui voit enfin Dieu.
Votre pouls et quelque peu casse pied mais son bisou fût tendre,
Aussi je vous conseille de l’eau de Barjavel , mais pas trop peu.
Enfin, votre quotient incestuel ne m’alarme en aucun cas
Vos résultats d’auto-analyses sont élevés mais satisfaisants.
Pour finir, je vous prescris deux cuillerées de joie en éclat
Et deux injections en intra-maxillaire de douze regards d’enfants.
Voilà, vous me devez le prix de mon effort et de ma satisfaction,
N’oubliez surtout pas vos médicaments de tendres jurons
Ils vous aideront à séjourner dans un centre très hospitalier
Et mon infirmière, lorsque vous partirez, ne pourra pas vous regarder.
Votre prochain rendez-vous est à la mi-mosa
j’espère que l’amélioration sera obsolète,
Au revoir et ne vous mettez pas marelle en tête
Car j’y ai joué et le Ciel vous savez, moi j’y crois ...
Que je renifle votre cou et votre visage hébété.
Secouez les mains et libérez votre esprit,
Car je vais faire une radiographie de votre vie.
Je pose donc le cliché sur le panneau lumineux,
Et je ne lis ma foi, rien de grave ni de honteux.
Juste une petite larme de verre fixée sur un adieu
Et une tempête de pourquoi destinés à Dieu.
Attendez ... Cette tâche m’intrigue, serait-ce votre chagrin angélique ?
Attendez, j’ai un doute, ou serait-ce alors votre bonheur cyclothymique ?
Ni l’un ni l’autre, me confirme mon collègue, ce n’est qu’une ombre
Une petite tâche survenue lors d’une crise de mysticisme néo-sombre.
Je vous prescris alors quelques vitamines et un bain de lait et de fleurs.
Ensuite vous prendrez trois gouttes d’arrêt de culpabilité...
Et n’oubliez surtout pas de vous masturber trois fois dans la journée.
Sans oublier d’en profiter pour en libérer vos plus grandes peurs.
Je vais vous prendre votre tension et ne plus jamais vous la rendre,
Ainsi vous irez un peu moins bien qu’un homme qui voit enfin Dieu.
Votre pouls et quelque peu casse pied mais son bisou fût tendre,
Aussi je vous conseille de l’eau de Barjavel , mais pas trop peu.
Enfin, votre quotient incestuel ne m’alarme en aucun cas
Vos résultats d’auto-analyses sont élevés mais satisfaisants.
Pour finir, je vous prescris deux cuillerées de joie en éclat
Et deux injections en intra-maxillaire de douze regards d’enfants.
Voilà, vous me devez le prix de mon effort et de ma satisfaction,
N’oubliez surtout pas vos médicaments de tendres jurons
Ils vous aideront à séjourner dans un centre très hospitalier
Et mon infirmière, lorsque vous partirez, ne pourra pas vous regarder.
Votre prochain rendez-vous est à la mi-mosa
j’espère que l’amélioration sera obsolète,
Au revoir et ne vous mettez pas marelle en tête
Car j’y ai joué et le Ciel vous savez, moi j’y crois ...
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