Hyacinthe
Kougniazondé, extrait
de "Quand je serai grand" in Fragments d’instants p 61 Une nuitée poétique pour annoncer Le printemps des poètes?
La poésie est morte ? Vive la poésie ! L’imprimerie l’a rendue silencieuse. L’édition lui reproche de ne pas être assez commerciale.
Que nous la lisions ou la disions, que nous l’exprimions sous forme de chansons ou de notes instrumentales, que nous aimons l'écrire ou non, la lire ou pas, rencontrons-nous pour une virée nocturne au cœur de l'âme même de la poésie.
Entrée libre (hors adhésion 2€)/Bar et restauration sur place/ Jauge limitée /Réservation conseillée atelierailleurs@gmail.com www.atelierdailleurs.com
Qu' est-ce qu'il y a de plus terrible que d'éprouver un sentiment et d'être incapable de le décrire..., de le nommer, ou de le raconter tout simplement. Non pas, par faute de vocabulaire, mais par manque d'imagination. Par manque d'exercice plutôt! Et quel gâchis de déborder d'imagination et de talent et de ne pouvoir le faire partager.
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