J'ouvre la porte, simple entrebâillement
La peinture morte et la valse de ces gens
Me laissent ce vide, oh rêveur incompris
Quand se dessine la faveur de l'oubli
Pardonnez mon aigreur
Mais l'on ne saurait guérir
L' égo guidant ce triste empire
Les insolents peinent à lever la tête
Noyer dans l'or, leurs vaines requêtes
Pardonnez mon aigreur
Laisser couler, dans la belle ignorance
La vie donnée, se
complait dans l'errance
L’essence et l’être se perdent dans les cieux
Décence et paraître, nous ferment les yeux
Pardonnez mon aigreur
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