Je laisse
tomber…
Ou… je le
dis maintenant
Que la
vie peut reprendre son cours initial ?
Les
mesures du bien atteignent l’ultime limite.
Le diable
peut frapper en plein jour.
Les
lanternes ne servent plus à rien.
Le peuple
peut pleurer son deuil.
Désormais
le mal est fait.
Le hasard n’existe pas.
Le hasard n’existe pas.
La pluie
ne s’arrêtera pas de tomber.
On
s’enivre de vin de palme
Histoire
de se donner de l’élan.
Je laisse
tomber…
Ou… je le
dis !
Le hasard
n’existe pas.
On
superpose le superficiel au réel.
Et les
deux finissent par devenir pareils.
Dubitatif,
on improvise.
Activité
méthodologique ?
Fierté de
l’être .
Violence des choses.
La danse
du vent,
Cette
parenthèse instable
S’ouvre
et se ferme à son gré.
Aux armes
soldats !
La
planète chauffe.
Le mal
est désormais libéré.
Depuis
l’autre côté du pavé,
J’allonge
le bras pour empoigner
La
lumière dans le creux de ma main.
Retard
sur l’échéance ?
La Grande
République Libre et Laïque bat de l’aile
Sous les
assauts du diable invisible et tentaculaire.
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